Quand la flamme sacrée s’éteint
Dans le cœur des hommes peureux,
Nul hère ne se souvient
De ce que nous fûmes nous les dieux !
Vous ne pouvez désormais avoir accès qu’à un extrait du poème. Vous pourrez prochainement le lire dans son intégralité en livre numérique et papier. Pour plus d’information, vous pouvez me contacter via le formulaire de contact.
Trés beau poème qui peut être lu et interprêté de de différente manière même si vous parlez des dieux nordiques.Il me fait égamement pensé au printemps.
Il y a une grande richesse lexicale.c’est toujours un grand plaisir de lire vos poèmes.
J’aimeAimé par 1 personne
Oui le printemps des dieux nordiques est proche! Merci de venir me lire!
J’aimeJ’aime
Il y a plusieurs niveaux de lecture pour ce poème. Ce qui est certain c’est sa qualité.
Le retour, le renouveau… En ce jour où nous célébrons Thor, le retour à la vie, à la lumière, sont très importants.
Les dieux nordiques ont connu leur hiver, le printemps est déja commencé.
J’aimeAimé par 1 personne
Je voulais attendre le printemps mais j’ai préféré le publier maintenant!
J’aimeJ’aime
Dans ce poèmes, je parle surtout des nordisants, le renouveau de notre foi est en marche! Mais certains croient mal: trop violents, trop insensibles aux dieux et à leur environnement, ceux là ne sont guère utiles aux dieux et à leur retour. Ils donnent une image désuète, rustre de notre foi. Le tri se fera de lui même de toute façon!
Après les derniers événements, je pense que ce poème s’adapte à toutes les religions.
J’aimeJ’aime